Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

lundi 1 février 2016

Hervé Guibert -Thierry

Hervé Guibert - Thierry, 1983

3 commentaires:

yves a dit…

mouai, mais guibert, il m'a jamais branché. certes, triste destin, mais, je sais pas, il y avait un truc chez lui qui me gênait et m'empêchait d'adhérer...
sinon, j'arrive pas à publier mes comms chez z'Épissures !!! c'est quoi, c'bordel ?
mais que fait la police ? in-cro-ya-bleu... par chez nous, les bretons on dit : incroyab' : on prononce jamais la fin des mots en bleu...

Silvano a dit…

De Fauve à Guibert, il n'y a qu'un pas.
(Vous voyez que je vous suis !)

Celeos a dit…

@Silvano
De Fauve à Guibert, c'est un grand pas : Fauve se rapporte à Cyril Collard, Cyril Collard à Nuits fauves et aux «années sida» ;sida terriblement associé, effectivement à Hervé Guibert. Entre autres.
Je vois bien que vous me suivez, Silvano. Jusqu'où êtes-vous prêt à aller, d'ailleurs ;) ?
@Yves
Je n'aime pas le minois de Guibert, trop angélique dans sa jeunesse, un peu surfait. Je n'aime pas trop sa littérature, et son dernier journal Le mausolée des amants est écrit avec les pieds, paru sans doute parce que le sida lui a procuré la plus-value du dernier ouvrage. Pourtant, Guibert me touche, notamment ses photos qui me semblent dire mieux ce qu'il était que sa littérature. D'où le choix que j'ai fait de cette image qui m'interpelle, plus authentique sans doute – bien qu'une image soit un mensonge par définition – que tout ce qu'on veut bien publier ici et là de tous ces beaux garçons.
Dans Epissures, il suffit de cliquer sur «publier un commentaire» et la fenêtre de commentaire s'ouvre alors. C'est magique !