Deux jeunes chanteurs, avec des voix superbes, Stávros Siólas/ Σταύρος Σιόλας et Vassílis Pachis/ Βασίλης Παχης .
La chanson est de Stávros Siólas, Της Άρνης το νερό - Tis Arnis to nero « L'eau à Arnis ».
Au départ il y a une légende, liée, comme souvent, au toponyme. Arnis est un lieu au centre de la Grèce continentale, dans les montagnes où se trouve une source. Il y est dit que celui qui boit à cette source perd tout souvenir, et oublie jusqu'à l'amour. Sauf que l'amour est plus fort que tout, n'est-ce pas, et que quand on aime, on est capable de franchir des montagnes, descendre aux enfers, et rien ne peut vraiment faire oublier l'objet de son amour.
C'est ce que dit la chanson, en gros. C'est avec cette chanson que Stávros a remporté le concours de Thessalonique en 2006.
Les deux voix de Stávros Siólas et de Vassílis Pachís sont de magnifiques exemples de la manière dont la chanson n'est pas qu'une technique désincarnée, mais sait porter toute l'émotion de cette culture, encore empreinte des accents orientaux dans la modulation de la voix.
Le beau Vassílis devait avoir une vingtaine d'années, à peine, quand il a passé ce crochet d'X-factor. Il s'était échappé, semble-t-il, du marbre dont on fait les éphèbes, tout comme le magnifique Dimitris Maniatis, que je présenterai une autre fois !...
La chanson est de Stávros Siólas, Της Άρνης το νερό - Tis Arnis to nero « L'eau à Arnis ».
Au départ il y a une légende, liée, comme souvent, au toponyme. Arnis est un lieu au centre de la Grèce continentale, dans les montagnes où se trouve une source. Il y est dit que celui qui boit à cette source perd tout souvenir, et oublie jusqu'à l'amour. Sauf que l'amour est plus fort que tout, n'est-ce pas, et que quand on aime, on est capable de franchir des montagnes, descendre aux enfers, et rien ne peut vraiment faire oublier l'objet de son amour.
C'est ce que dit la chanson, en gros. C'est avec cette chanson que Stávros a remporté le concours de Thessalonique en 2006.
Les deux voix de Stávros Siólas et de Vassílis Pachís sont de magnifiques exemples de la manière dont la chanson n'est pas qu'une technique désincarnée, mais sait porter toute l'émotion de cette culture, encore empreinte des accents orientaux dans la modulation de la voix.
Le beau Vassílis devait avoir une vingtaine d'années, à peine, quand il a passé ce crochet d'X-factor. Il s'était échappé, semble-t-il, du marbre dont on fait les éphèbes, tout comme le magnifique Dimitris Maniatis, que je présenterai une autre fois !...
2 commentaires:
Comment traduit-on "fouloulou" en Grec ?
Je crois qu'on peut dire "popopo!"
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