Manuel Blanc lit un extrait de son roman, Carnaval, dans une vidéo d'Antony Hickling.
A la recherche éperdue de son amant.
A la recherche éperdue de son amant.
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
3 commentaires:
La belle voix,si nette,de Manuel Blanc .
J adore ce texte, cette vidéo avec ses surexposés et images "perturbées ". Et vois-tu je ne connaissais pas ce Manuel Blanc. Merci!
Mais si Arthur, tu ne te rappelles pas, J'embrasse pas d'André Téchiné ?
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