Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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1 commentaire:
vrai ! z'y manque plus que le pompom à c'te moussaillon.
en plus, le rafiot derrière a l'air de valoir un déplacement !
ah ! la Marine et ses pi-mousses ! sans compter la connaissance des multiples nœuds...
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