Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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4 commentaires:
joooooseeeeephhhh !
houhou !
es-tu là ? réponds-nous. tu nous manques.
Joseph, est-ce-que vous allez bien.
Il y a comme une tritesse dans votre silence.
La distance est courte entre ma région "haut perchée" et votre poétique Belgique et je vous envoie un sourire.
Marie
Un petit message très amical de Joseph m'est parvenu. Il se met un peu en retrait. Je reste en contact.
Je comprends mieux l'expression, ici : boire le calice jusqu'à la lie.
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