Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
Alors nous te baîllonnerons !
Mais non, laissons-le s'exprimer, Joseph !
oui, Joseph, qu'il sorte la sienne !
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