Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
pas d'la p'tite bière, dites-moi !
Quel sens de la réactivité, Yves !
Ah, les icônes gays !!!
Pourquoi s'en passer !
Enregistrer un commentaire