Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
On pense à une image extraite des "Dieux du stade" ; pas ceux du calendrier, non, mais l'un des athlètes du film de Leni Riefenstahl, exaltation du parfait aryen. La vue de cette photo me fait penser que, si j'avais vécu cette sinistre période, j'aurais peut-être été tondu à la libération.
Possible, il faudrait sonder les images de Leni Riefenstahl. Tondu ? Vous êtes un incorrigible optimiste Silvano, si je me rappelle la lecture du Triangle rose de Dominique Fernandez.
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