Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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4 commentaires:
Celeos, Silvano, même combat !
..et te surveillerai de près
car de tes beaux atours
je crains les vautours
que ton corps agrée
Naval d'abord, bien sûr, Estèf : touché, coulé !
Joseph, les vautours sont des nettoyeurs de la nature : il ne s'attaquent qu'aux cadavres. Ici, mon beau garçon est tout de chair bien vivante, et gare aux échassiers qui voudraient lui picorer le dos : c'est déjà fait !
Belle œuvre !
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