Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
5 commentaires:
ah ! faire trempette.
Ils eussent gagné (et nous aussi) à se dévêtir plus.
Je ne manquerai pas de le leur dire, Silvano.
Vous bégayez souvent, Celeos.
L'émotion ?
C'est le parkintion, Silvano.
Enregistrer un commentaire