Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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11 commentaires:
Titre audacieux!
Il ne me manque plus que le bateau, Joseph !
pour le bateau, je peux ? sinon, une bouée canard...
mais le titre est trop tentant... du mal à résister. je fais gaffe, j'ai déjà eu des critiques peu élogieuses quant à mes commentaires. un mec - silvano - le genre surement qui rougit quand on prononce le mot bite devant lui !
Je ne pense pas que Silvano soit du genre à rougir, mais il vous le dira peut-être lui-même... Ne vous formalisez pas devant certaine remarque ironiques qu'il a pu vous faire,il n'y avait, j'imagine, rien de méchant.
Arrimez, votre bateau, votre bouée, je vous prête le garçon bien volontiers !
à ne pas confondre avec bitte d'abordage, mille sabords !
Amusant : si vous avez lu mon dernier texte (et de nombreux autres) vous constaterez qu'il m'en faut beaucoup plus pour rougir. Je fus taquin, pas méchant.
Cyril: toute la difficulté est là. Comment aborder un garçon d'amarrage ?
un peu d'humour suranné (des années 1970) Pourquoi l'antre de tant de plaisirs est-il appelé enfer? Evident, parce que Satan l'habite!
Vous êtes en verve, Joseph (non ce n'est pas une contrepèterie).
à propos, j'ai écrit : bite, pardon ! bitte. je suis confus !
Sacré Voseph !
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