Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
j'en connais qui devraient en prendre en intra-veineuse à haute dose.
il y a encore des culs-terreux ici qui en tiennent une sacrée couche ! ça vous traite encore d'inverti. à quoi je réponds q'un inverti en vaut deux. mais, peine perdue, même ça, ça passe pas !
Superbe campagne. J'en insèrerai une autre.
Pour les cas désespérés, peut être faut-il envisager des intraveineuses d'amour, de tendresse, de douceur, de sourires...
(je conçois que cela peut paraître gnangnan mais en des cas qui relevaient du palliatif, j'en ai testé l'efficacité)
Marie
Et si l'amour ne suffit pas, nous recourrons à la sédation. Nan, je déconne !
@ Marie : je comprends et suis d'accord avec vous. néanmoins il y a des gens indécrottables. la religion les a minés jusqu'au tréfond de leur âme.
@ Celeos : quoique... nan, j'déconne !
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