Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
Et si la vie est donnée.
Ensuite, il y a l'été, l'automne et l'hiver ; le défi étant d'arriver à aimer chaque saison.
Ce qui n'est pas chose facile.
Marie
(je vous prie de ne pas prendre ceci commme un commentaire gnagnagnatant, Céléos mais juste une réflexion liée à la Nature et à sa beauté, en toutes circonstances.)
Comme dirait la sœur de Maxime, ou une maxime elle-même, "au pays de ton corps, moi j'adore"
l'événement dont je suis le plus fier : les saisons passent et mon amour pour mon 'wan est toujours vivant.
C'est sans doute la magie de la reliure...
ouaiiiii ! très joli, Monsieur Celeos. mercide tout cœur. y'en a un qu'est rouge comme une pivoine !
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