Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
9 commentaires:
on baptise à quelle heure ?
n'empêche, l'a fière allure, ce petit. je me propose pour lui faire son catéchisme...
Cambre-toi, fier si courbe.
cambre toi vieux si courbe!
après réflexion, si(l)cambre, c'est encore mieux !
Mettez-vous d'accord, Silvano et Joseph. D'abord, il n'est ni vieux ni courbe. (Ah ces références détournée de l'école primaire !) Encore moins fourbe qui a manqué de près de dévoiler une des plus belles parties de son anatomie (je t'entends dire un oh ! de regret, Estèf !)
Enfin, bref, c'est un beau mec !
historiquement, courbe toi fier sicambre,( qui répondit, dixit le potache ,cambre toi vieux si courbe)le modèle n'a pas l'air trop mérovingien, et encore moins époux de Clotilde, non?
Il est hors de question qu'il épouse Clotilde, non mais !
Superbe.
Lorsque je vois une telle splendeur, et surtout que je m'arrête à ce que je ressens en moi, je pense à ce texte de Jouhandeau :
L'image essentielle (Bréviaire, 1980, p. 30) :
Une image - c'est un soupçon de ma part - a dû être déposée en moi dès le commencement du monde, au moins dès le commencement de moi-même, dès ma conception dans le sein de ma mère, une image abstraite et éclatante, qui est à l'origine de mon plus personnel Désir. C'est elle qui détermine et dirige tous les mouvements de mon âme.
C'est une image de l'Homme éternel. Un jour ou l'autre, elle s'incarne dans un être qui devient l'objet unique de ma hantise et de mes convoitises - obsession vivante -, hallucinante. Voilà le vrai ressort de la Passion.
Beau texte qui revient sur la genèse des émois. Merci de cette référence, Jean-Marc.
Enregistrer un commentaire