Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
ah ! fabuleux délice qu'entendre son mec lire tout haut des contes et légendes et doucement glisser dans les bras de morphée...
Oh,que oui! racontons-nous des histoires contre l'adversité.
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