Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
attentif au paquet...
j'aurais pu, ainsi, vous dire que vous ne manquiez pas d'air !
mais bon, j'arrive après la bagarre (mariage à l'italienne...). sur ce coup-là, j'aurais dû vous emmener tous sur mon rafiot. vous auriez ramé ferme pour vous apprendre ce que c'est qu'une vraie galère !
en attendant, je suis béa devant tant de savoirs et la façon dont vous vous exprimez, vous et vos complices.
vous m'avez manqué cher blogueur.
zou... je vous envoie tout plein de bretonnants vœux en espérant que tous ne se concrétisent pas. sinon, un truc à finir par s'ennuyer ferme.
bof ! allez, j'me fends : un bout d'amour à donf : c'est ce qui peux nous arriver de mieux.
c'est marrant, au début, j'ai eu un peu de mal à "entrer" dans vot' blog ! alors que tête baissée chez another country. et ce qui est dingue, c'est qu'à cause de chamailleries entre another et mon mec, celui-ci s'en est allé après toute une vie commune.
mais, ce qui me navre et me chagrine, c'est la stupidité et le sectarisme de l'auteur du blog : tellement imbu de détenir la connaissance qu'il n'a pas réalisé ce qu'il faisait. rien de plus chiant que ces gens persuadés qu'eux seuls savent... savent quoi ? RIEN. aucune tolérance.
pas d'ça chez toi, le Grec !
je t'en serre cinq ! force pas trop sur le résiné.
Merci de ces vœux, Yves, et les miens en retour : de l'amour et des beaux mecs !
Et kénavo, sur d'autres routes, terrestres ou maritimes, car le monde est bien petit, et bon vent sur la Bretagne, terre cousine. Mes pensées t'accompagnent.
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