Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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6 commentaires:
Un petit côté Marat (vautré sur son matelas après le coup fatal)...
Oui, c'est le dernier de Corday ! Saura-t-on jamais tout ce que Marat donna ?
Etre le dernier de Corday peut être dangereux car si le câble ment et cède, il faut retenir Marat à bout de drap, comme l'illustre ce post.
(c'est archi-nul, je sais; ne me cherchez pas, je suis déjà parti).
J'aime tout dans cette image : le bois-de-lit, le branchage d'automne sur le vieux mur le drap ourlé à la main, et l'antique poste de radio.
Voilà, je pense n'avoir rien oublié.
Bel effort, Palomar, j'apprécie, mais revenez quand vous voulez !
Moi également, Silvano, c'est la perspective du bois de lit qui a retenu mon attention. Rien d'autre.
il était dans de beaux draps et à les traîner sur le sol il se retrouvera dans de sales draps , français quand tu nous tiens!
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