L'auberge des orphelins

lundi 26 octobre 2015

Accablement


6 commentaires:

  1. Un petit côté Marat (vautré sur son matelas après le coup fatal)...

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  2. Oui, c'est le dernier de Corday ! Saura-t-on jamais tout ce que Marat donna ?

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  3. Etre le dernier de Corday peut être dangereux car si le câble ment et cède, il faut retenir Marat à bout de drap, comme l'illustre ce post.
    (c'est archi-nul, je sais; ne me cherchez pas, je suis déjà parti).

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  4. J'aime tout dans cette image : le bois-de-lit, le branchage d'automne sur le vieux mur le drap ourlé à la main, et l'antique poste de radio.
    Voilà, je pense n'avoir rien oublié.

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  5. Bel effort, Palomar, j'apprécie, mais revenez quand vous voulez !
    Moi également, Silvano, c'est la perspective du bois de lit qui a retenu mon attention. Rien d'autre.

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  6. il était dans de beaux draps et à les traîner sur le sol il se retrouvera dans de sales draps , français quand tu nous tiens!

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Généralement, je préfère qu'on m'écrive au stylographe à plume et à l'encre bleue... L'ordinateur n'a pas intégré encore ce progrès-là !