Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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8 commentaires:
... indispensables à quoi ?...
A ce que vous voudrez, AC, je ne suis pas chien. A apprécier la vie ?
A suivre le lièvre de Mars ? A faire la nique aux pisse-froid, aux intégristes ? A larguer les amarres et mettre le cap sur l'île au trésor ? Je vous laisse le choix !
A narguer les amarres ? Parcourant un peu trop rapidement votre réponse, j'avais lu : "A faire la nique aux pisse-froid, aux intégristes ? A narguer les amarres..." J'espère que vous ne me comptez pas au nombre des "pisse-froid"... Des fesse-mathieux, peut-être...
Narguer les amarres ? Joli, on peut les narguer aussi ! Vous fessez à la main ou au martinet ?
Malheureusement (pour certains), la violence, même simulée, a un effet désastreux sur ma libido. J'aime les gros câlins, les cuillères sous la couette, les bains interminables à deux, les soirées au coin du feu... (Je ne suis plus très loin de la quinine et du passe-montagne, j'en ai peur.)
Rassurez-vous, je ne vous imaginais pas autrement. Attendez un peu pour les coins du feu, l'été n'est pas fini. Il y a encore de belles soirées à passer à regarder les perséides, entre deux nuages !
J'ai les yeux rivés au ciel tous les soirs -- en vain. Pas la moindre étoile filante ; aucune chance de voir mes voeux exaucés.
@ AC : J'en ai vu une très belle l'autre soir, venant du nord. Patience !
@ Yves : Green is the colour of my true love's hair ! Belle nuit à vous aussi.
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