Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
samedi 3 janvier 2015
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2 commentaires:
Je me souviens de sa caverne dans cette rue de Nice près du boulevard Dubouchage, où je faisais un détour sur le chemin du conservatoire. Tout est dit dans le cadre.
J'aurais dû préciser que l’œuvre en question n'avait pas quitté Nice, puisqu'elle est intégrée dans une installation hétéroclite - mais avec Ben c'est redondant - au MAMAC.
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