Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

lundi 6 novembre 2017

La dérade

Un très beau court, avec un improbable scénario qui reste à l'état d'hypothèse au tarabiscot. Mais cela valait la peine d'être essayé : ce n'est pas raté.



2 commentaires:

arthur a dit…

Et ca aussi , j'adore. Très sensible, émouvant. J'en ai presque pleuré.
C'est presque du Almodovar (tout sur ma mère), l'exubérance en moins évidemment.
De nouveau, même question: comment découvres-tu ces perles?

Celeos a dit…

Mes nuits sont parfois courtes, Arthur, et les algorithmes de Youtube commencent à connaître mes goûts. Mais j'élimine beaucoup !