Un certain été je revenais de Grèce. Mon esprit continuait cependant à errer, entre les chemins de Kalambaka, de Venise, Trieste ou Otrante. Il me restait la musique qui venait porter ses notes sur mes images persistantes. Sur France Culture, opportunément, Aris Fakinos œuvrait à faire mieux connaître les ressorts de la culture grecque contemporaine, le légendaire des kleftès, le chant byzantin. L'Afrique apportait également d'autres sons qui étaient de ceux qui renouvellent les matins du monde. Pierre Akendengué était dans ces moments où le ciel s’éclairait d'une immense lumière.
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
Je l'ai également beaucoup écouté ; et peut-être était-ce à la même époque.
En tout cas ça ne nous rajeunit pas vraiment!
Pour ce qui me concerne, début des années 80, où je vivais chez une Franco-Gabonaise. En tout bien tout honneur, bien sûr.
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