Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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7 commentaires:
il y a quelques années : ohhhh ! fastoche !
aujourd'hui : soit j'ai 6 mois d'hôpital (avec beaucoup de bol), soit crémation et hop ! (là, c'est vraiment de la chance).
bref, on peut pas être et avoir été.
vous avez 2 heures et j'ramasse les copies !
Les paris sont ouverts : y a-t-il un filet entre les bâtiments ?
Celeos = grand fou !
Merci, Yves, j'apprécie le compliment, mais ce n'est pas moi qui saute. Mais je vais m'entraîner.
Celui qui risque sa vie pour rien n'est pas un héro, c'est un imbécile.
Beau débat philosophique, Fulup...
Très, très beau jeune homme. Bel athlète. Et quelle précision dans le geste !
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