Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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4 commentaires:
tète thermonucléaire comme dirait un comparse - AC - à vous.
ah puis je trouve cette histoire sans queue ni tête.
très dommage, surtout pour le premier appendice cité.
Devant une telle perfection, comment préférer les hommes à poil ?
Il faut laisser sa part à l'imagination, Yves. On est jamais déçu.
Il m'arrive de craquer parfois devant de belles pilosités, Estèf.
moi je vois plutôt un amuse-bouche!
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