Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
dimanche 12 juillet 2015
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
6 commentaires:
Amusantes transmissions de pensée (une de plus !) : mardi, je serai à Siracusa...
Et je peux même vous prédire, Silvano, que vous n'aurez pas froid !
Oh, c'est pythie, ça !
Oui, moi aussi, je suis fils du serpent : je vois loin et j'ai parfois la langue fourchue !
Henri Salvador a imaginé la musique. Les paroles sont de Bernard Dimey. Henri Salvador raconte que la chanson fut bouclée en 20mn.
Roger
Merci, Roger, pour votre vigilance ! J'ai été un peu rapide sur ce coup-là !
Enregistrer un commentaire