Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
jeudi 9 avril 2015
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
Ah, je l'ai insérée à deux ou trois reprises, celle-ci. J'aime beaucoup. Je m'imagine, assis au bord du lit, plongé dans une infinie contemplation.
J'avais dû passer à côté sur GC, quoiqu'une telle beauté, c'est difficile. Moi je n'oserais même pas m'asseoir au bord du lit de peur de le réveiller, le pauvre chou (le lit est en 90, quelle misère) !
Pourquoi donc ? Un lit de cette taille permet tous les rapprochements.
Des rapprochements, oui, mais les ébats deviennent plus délicats si on ne veut pas chuter.
Enregistrer un commentaire