Pour bien commencer la semaine où l'on se rapproche du solstice d'hiver, fêté par les chrétiens avec Noël, les juifs avec Hanouka, les musulmans par l'Aïd al Mouloud (fête de la naissance d'Ishoua, alias Jésus), les païens avec le sapin de Noël et ses bougies, certains jeunes de banlieue par des feux de joie de voitures, les pompiers avec leurs lances à incendie, les commerçants de toutes confessions par l'explosion de leur chiffre d'affaire, voici un peu de soleil musical du regretté Paco de Lucía (à prononcer à la castillane, et non à l'italienne, non mais !).
(Très longue phrase, mais pas autant que certains sociologues !)
Entre deux eaux, c'était aussi le nom d'un joli blog, non, je rectifie, d'un très beau blog qui privilégie le texte, fait par le bel Olivier, qui apparemment a cessé de bloguer. C'est dommage. J'espère qu'il est heureux avec son ami d'amour.
Je ne peux m'empêcher d'en donner un passage d'une grande sensualité :
Je ne peux m'empêcher d'en donner un passage d'une grande sensualité :
" Je goûte son corps blanc picard avec délectation, je m'abandonne à lui, comme lui à moi, sans pression. Nous nous touchons, suscitons et éprouvons d'indécelables vigueurs, découvrons les parcelles sensibles de nos peaux ".
Sa dernière page est datée d'il y a un an, c'était hier, jour pour jour. Voici le lien : clic
Paco de Lucía Entre dos aguas - 1976
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