Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
mardi 8 août 2017
Walker Evans à Pompidou
Walker Evans (1903-1975)
Alabama Tenant Farmer Floyd Bourroughs
1936
Le Centre Pompidou présente une exposition du photographe Walker Evans. A ne pas rater ! J'y reviendrai.
Un petit mot à propos de cette exposition: Récemment visitée, ce jour, j'ai été impressionné par cette dernière. Mais plus encore, j'ai pu approfondir, par une scénographie sobre et pertinente, toute une réflexion autour de cette oeuvre. Et je n'oublie pas un livre qui se rattache à cette oeuvre, livre qui m'a profondément marqué et auquel je pense régulièrement: "Louons maintenant les grands hommes" de James Agee. J'attends désormais votre regard! François B
Hélas, François, je n'aurai pas eu le temps de passer au Centre Pompidou pour la voir, puisqu'elle se termine le 14 août. Néanmoins, les photographies de Walker Evans sont ce regard sans concession sur la vie américaine, la volonté de redéfinir les lieux par lesquels émerge la notion de réel: la vie de la rue, ses paysages, la manière d'être des gens qui sont dans cet espace public, qui y vivent, y travaillent, expriment leurs difficultés, sans artifice photographique, sans jeu d'une esthétique de la lumière. C'est avant tout l'authenticité de la démarche de Walker Evans qui me paraît importante, et qui transparaît dans l'ensemble de son oeuvre. J'espère seulement que l'exposition sera prolongée !
2 commentaires:
Un petit mot à propos de cette exposition: Récemment visitée, ce jour, j'ai été impressionné par cette dernière. Mais plus encore, j'ai pu approfondir, par une scénographie sobre et pertinente, toute une réflexion autour de cette oeuvre.
Et je n'oublie pas un livre qui se rattache à cette oeuvre, livre qui m'a profondément marqué et auquel je pense régulièrement: "Louons maintenant les grands hommes" de James Agee.
J'attends désormais votre regard!
François B
Hélas, François, je n'aurai pas eu le temps de passer au Centre Pompidou pour la voir, puisqu'elle se termine le 14 août. Néanmoins, les photographies de Walker Evans sont ce regard sans concession sur la vie américaine, la volonté de redéfinir les lieux par lesquels émerge la notion de réel: la vie de la rue, ses paysages, la manière d'être des gens qui sont dans cet espace public, qui y vivent, y travaillent, expriment leurs difficultés, sans artifice photographique, sans jeu d'une esthétique de la lumière. C'est avant tout l'authenticité de la démarche de Walker Evans qui me paraît importante, et qui transparaît dans l'ensemble de son oeuvre.
J'espère seulement que l'exposition sera prolongée !
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