Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
j'espère qu'il trouvera de la chaleur humaine plutôt que de recourir aux sinistres UV des cabines bronzantes!
Je lui ai déjà proposé de venir se chauffer chez moi !
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