Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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6 commentaires:
Je pense à Anne de Montmorency et j'ai l'occasion de retrouver l'adjectif épicène longtemps cherché.
Franck
Anne de Montmorency, aussi. Ouf, on a frôlé le Miocène ! Merci, Franck, pour le rappel de ce bel adjectif qui désigne l'indifférence entre les sexes !
Rajoutons un V à Henri III et nous retrouverons Anne qui ne voyait rien venir...
Mais si, hélas : elle a vu.venir la hache du bourreau !
houlllla ! ce blog est-il une annexe de l'académie française ?
en plus, un cours d'histoire !
on a deux heures et... ramassage de copies ?
vous faites mon admiration, jeunes gens !
De l'Acacochyme française, voulez-vous dire, Yves ? Alors que ce beau garçon , loin de ce lieu, peut faire notre bonheur de sa jeunesse vigoureuse ? (enfin, le relief de son short à tout lieu de nous le laisser croire...) Et deux heures, c'est vraiment un minimum avec lui !
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