Ahmad Joudeh danse sur le toit de sa maison à Damas. Danser contre la barbarie est un beau défi. Une imploration dont le ciel, assourdi par les bombes et les pleurs a parfois la capacité de percevoir la grâce.
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
4 commentaires:
Je l'ai vu, à la télévision, dansant dans une ville, en ruine, dans un silence total, avec comme seule musique le souffle du vent.
Il m'est apparu indestructible...
Marie
Oui, Marie, c'était à Palmyre, comme une espèce de défi.
Vu sur le quotidien ,il y a quelques semaines. L'explication de son tatouage sur la nuque "Dance or die" en arabe, fait tout juste très très froid dans le dos. Chapeau bas, l'artiste!
C'est un bel engagement, arthur, une vraie nature d'artiste.
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