Je pense à Londres, où le tragique s'est déroulé, comme c'est déjà arrivé par le passé, où la main d'un dieu sauvage a armé un nouvel acharné. Londres a un maire qui honore ses concitoyens. La ville est belle, sale parfois, toujours étonnante ; les Britanniques ont ce charme dont on sait qu'il peut produire le meilleur comme le pire. Je garde le meilleur dans ce que j'aime chez eux. Ils sont ces Méditerranéens du monde anglo-saxon. Je me sens à Londres parfaitement à l'aise, même si je n'y vibre pas de la même manière qu'en Italie, ou en Grèce dont chaque lieu m'est un bouleversement.
Une anecdote m'avait fait sourire : à Westminster, un Britannique m'avait demandé à quelle heure ouvrait la visite de l'Abbaye : il m'avait pris pour un habitué des lieux, sans doute. J'avais dû m'excuser de ne pas connaître les horaires. C'était un moment charmant, typiquement anglais. J'étais par ailleurs très flatté de ne pas avoir été pris pour un Français !
Ce soir je pense à Londres. J'avais fait cette photographie il y a deux ans, non loin de Saint Martin in the Fields, et à proximité de la National Gallery. Les agents de la National Gallery étaient en grève alors pour protester contre la privatisation progressive de leur établissement. Je ne pouvais que les soutenir, bien sûr. Quelques beaux garçons passaient dans les rues.
London, your city is open. Stay so, and let us open the minds, everywhere.
Une anecdote m'avait fait sourire : à Westminster, un Britannique m'avait demandé à quelle heure ouvrait la visite de l'Abbaye : il m'avait pris pour un habitué des lieux, sans doute. J'avais dû m'excuser de ne pas connaître les horaires. C'était un moment charmant, typiquement anglais. J'étais par ailleurs très flatté de ne pas avoir été pris pour un Français !
Ce soir je pense à Londres. J'avais fait cette photographie il y a deux ans, non loin de Saint Martin in the Fields, et à proximité de la National Gallery. Les agents de la National Gallery étaient en grève alors pour protester contre la privatisation progressive de leur établissement. Je ne pouvais que les soutenir, bien sûr. Quelques beaux garçons passaient dans les rues.
London, your city is open. Stay so, and let us open the minds, everywhere.
Celeos - Londres 2015 |
9 commentaires:
"J'étais par ailleurs trés flatté de ne pas avoir été pris pour un Français" écrivez vous.Peut on savoir pour quelles raisons?
Bien sûr, paul c.
Parce que, lorsque je rencontre parfois des Français à l'étranger, ils sont souvent arrogants, parlent fort, sont incapables de parler une autre langue que la leur, sont rétifs à toute nourriture qui ne soit pas du stèquefrite, et en fait témoignent parfois d'un ethnocentrisme absolument insupportable. de vrais assholes.
"Sont rétifs à toute nourriture qui ne soit pas du stéquefrite" ?? On ne doit pas voir les mêmes... Vos autres griefs me paraissent exagérés bien qu' un peu vrais . Quant à la qualification méprisante de "assholes", vous auriez pu vous en dispenser .
Vous ne manquez pas d'air, paul c. Au nom de quoi devrais-je me dispenser d'écrire ce que je pense dans mon blog !!! Votre nom intime est-il Anastasie ?Que direz-vous lorsque je ferai le compte-rendu (très, très en retard) d'un livre espagnol sur la culture française, reparu l'an dernier !
Vous écrivez librement . Je donne mon avis librement .
Et je le publie librement. Vive la liberté !
Vive la liberté !
je me souviens d'un Londres 2005 après las attentats du métro que je visitai quand même pour prouver à la terreur que même Robespierre avait fini par en subir les affres! Quant à la cuisine en Angleterre , j'ai apprécié son côté hindou, son ôté italien et même l'agneau à la menthe mais j'ai toujours le regret de n'avoir pas approché le Fish and chips! mais quelle politesse dans les rues , à croire que ces Londoniens sont nés avec "Scuse me", et "pardon", en biberon -âge!
Le fish and chips y est délicieux, et j'ai souvenir de tourtes au boeuf et à l'oignon absolument remarquables, entre autres...
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