L'auberge des orphelins

mercredi 18 octobre 2017

De la peau et des os

Ahmad Joudeh  danse sur le toit de sa maison à Damas. Danser contre la barbarie est un beau défi.  Une imploration dont le ciel, assourdi par les bombes et les pleurs a parfois la capacité de percevoir la grâce.


4 commentaires:

  1. Je l'ai vu, à la télévision, dansant dans une ville, en ruine, dans un silence total, avec comme seule musique le souffle du vent.
    Il m'est apparu indestructible...
    Marie

    RépondreSupprimer
  2. Oui, Marie, c'était à Palmyre, comme une espèce de défi.

    RépondreSupprimer
  3. Vu sur le quotidien ,il y a quelques semaines. L'explication de son tatouage sur la nuque "Dance or die" en arabe, fait tout juste très très froid dans le dos. Chapeau bas, l'artiste!

    RépondreSupprimer
  4. C'est un bel engagement, arthur, une vraie nature d'artiste.

    RépondreSupprimer

Généralement, je préfère qu'on m'écrive au stylographe à plume et à l'encre bleue... L'ordinateur n'a pas intégré encore ce progrès-là !