Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
L'auberge des orphelins
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vendredi 29 juin 2018
Explicit
Vingt-neuf juin 2018 : c'est le temps de partir, ou tout au moins d'arrêter, en tout cas de fermer. It's just closing time.
Il est des choses qui nous remplis de tristesse... En partage, en gratitude de la clarté lumineuse du lys, ce petit texte lu ce matin : "Aujourd'hui, l'esprit se réfugie où il peut, dans un brin d'herbe, ou dans cette tourterelle que j'ai vue l'autre jour, aussi blanche qu'une boule de neige, et qui était d'une tranquilité absolue, avec les petites perles de la pluie tout autour. Elle était si douce qu'elle faisait comprendre ce qu'est la pluie et qu'on ferait mieux de médire des activités des hommes que des intépéries." Il est de Christian Bobin. Bel été, Céléos, au-delà de toutes circonstances, vous trouverez bien toujours un brin d'herbe pour vous sourire... Marie
@ Marie : bel été à vous ! les brins d'herbe, les écureuils et pics épeiches, le murmure du ruisseau, le vent dans les peupliers me sourient presque tous les jours...
J'écouterai plutôt "A song to say goodbye " de Placebo ; car seul ce type de remède me permettra de suturer le vide _ merci mille fois de vos écrits, échos pas si éloignés que cela de mes ressentis _
je te lis toujours avec impatience et avidité, même si je commente peu! moi, je regrete vraiment ce départ. Je peux le comprendre, mais ca m attriste; J'espère en tous les cas que tu es peut-etre sur d'autres projets, tout aussi interessants? bonne route à toi, kalo taxidi!!
J'ai trouvé pourquoi Celeos nous quitte. Il reprend à la rentrée la chronique internationale de Bernard Guetta, qui a fait sa dernière sur France inter ce matin. Le contrat présente une clause d'exclusivité. Chapeau !
Alors dis-le ... c’est toi Bernard Guetta l, on t’avait reconnu avec tes chroniques où tu te lâchait plus qu’à la radio et où tu permettais de dire « ce pauvre Bernard Guetta » .,,
Cher François, merci de votre pensée. Le blog a été un moment partagé, mais les choses passent, et je n'ai pas de raison de le reprendre. Peut-être raconterai-je un jour d'autres moments, sous une autre forme, dont les éblouissements me sont parvenus. Vous les saurez. Je vous envoie mon amitié. Celeos
Pourquoi pas le 30 ?
RépondreSupprimerBon, tu me manqueras ici.
Ath plaser
Bises
Il est des choses qui nous remplis de tristesse...
RépondreSupprimerEn partage, en gratitude de la clarté lumineuse du lys, ce petit texte lu ce matin :
"Aujourd'hui, l'esprit se réfugie où il peut, dans un brin d'herbe, ou dans cette tourterelle que j'ai vue l'autre jour, aussi blanche qu'une boule de neige, et qui était d'une tranquilité absolue, avec les petites perles de la pluie tout autour. Elle était si douce qu'elle faisait comprendre ce qu'est la pluie et qu'on ferait mieux de médire des activités des hommes que des intépéries."
Il est de Christian Bobin.
Bel été, Céléos, au-delà de toutes circonstances, vous trouverez bien toujours un brin d'herbe pour vous sourire...
Marie
@ estèf : te legirai. Potons
RépondreSupprimer@ Marie : bel été à vous ! les brins d'herbe, les écureuils et pics épeiches, le murmure du ruisseau, le vent dans les peupliers me sourient presque tous les jours...
Vous trouverez bien un de ces jours quelque véhémence à partager, allez ! À bientôt, j'espère.
RépondreSupprimer@ Silvano : ce ne sont pas les sujets d'indignations qui manquent, hélas. Vient un moment où l'on n'a plus tout à fait l'esprit à les partager.
RépondreSupprimerJ'écouterai plutôt "A song to say goodbye " de Placebo ; car seul ce type de remède me permettra de suturer le vide _ merci mille fois de vos écrits, échos pas si éloignés que cela de mes ressentis _
RépondreSupprimerJe vous embrasse, Joseph.
RépondreSupprimerMerci pour tout! Vous allez me manquer! Nous manquer!
RépondreSupprimerBonne suite.
François B
Merci François, votre amitié virtuelle m'a été précieuse.
RépondreSupprimerje te lis toujours avec impatience et avidité, même si je commente peu! moi, je regrete vraiment ce départ. Je peux le comprendre, mais ca m attriste; J'espère en tous les cas que tu es peut-etre sur d'autres projets, tout aussi interessants?
RépondreSupprimerbonne route à toi, kalo taxidi!!
Ευχαριστώ φίλε μου; ma route continue différemment. Je souhaite à la tienne d'autres beaux et agréables garçons à rencontrer. Φιλάκια
RépondreSupprimerJ'ai trouvé pourquoi Celeos nous quitte. Il reprend à la rentrée la chronique internationale de Bernard Guetta, qui a fait sa dernière sur France inter ce matin. Le contrat présente une clause d'exclusivité. Chapeau !
RépondreSupprimerEn fait, estèf, pour tout te dire... Je pars avec Bernard Guetta !
RépondreSupprimerAlors dis-le ... c’est toi Bernard Guetta l, on t’avait reconnu avec tes chroniques où tu te lâchait plus qu’à la radio et où tu permettais de dire « ce pauvre Bernard Guetta » .,,
RépondreSupprimer:-)
RépondreSupprimerI'm sorry, so sorry … air connu des années 50 je crois, j'avais entre 2 et 12 ans et guetta rejoint le Gotha alors: danger , pollution_
RépondreSupprimerBonjour Celeos,
RépondreSupprimerBref! Qu'importe mon souhait de ne plus vous importuner, mais vous nous manquez!
J'espère que vous allez bien.
Bonne suite!
François B
Cher François, merci de votre pensée. Le blog a été un moment partagé, mais les choses passent, et je n'ai pas de raison de le reprendre.
RépondreSupprimerPeut-être raconterai-je un jour d'autres moments, sous une autre forme, dont les éblouissements me sont parvenus.
Vous les saurez. Je vous envoie mon amitié.
Celeos