Pour contraster avec la météo ensoleillée, les images de Théo Angelopoulos apportent son regard et sa perspective sur le temps passé. Curieusement, l'hypermémoire d'Internet joue à rendre amnésique parfois certaines périodes : on substitue l'histoire à la mythologie, et la mythologie perd le rôle sublime pour lequel elle est faite. Elle se joue des héros comme elle se joue des dieux, pour le simple plaisir de rire de toutes les avanies subies par les hommes comme par les dieux. Car tout, au bout du compte, reste dérisoire, et disparaît sous la poussière du temps.
La musique d'Eléni Karaïndrou illustre le film de Théo Angelopoulos, La poussière du temps.
La musique d'Eléni Karaïndrou illustre le film de Théo Angelopoulos, La poussière du temps.
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Généralement, je préfère qu'on m'écrive au stylographe à plume et à l'encre bleue... L'ordinateur n'a pas intégré encore ce progrès-là !