I should have known better
To see what I could see
My black shroud
Holding down my feelings
A pillar for my enemies
I should have wrote a letter
And grieve what I happen to grieve
My black shroud
I never trust my feelings
I waited for the remedy
When I was three, three maybe four
She left us at that video store
Be my rest, be my fantasy
Be my rest, be my fantasy
I'm light as a feather
I'm bright as the Oregon breeze
My black shroud
Frightened by my feelings
I only wanna be a relief
No, I'm not a go-getter
The demon had a spell on me
My black shroud
Captain of my feelings
The only thing I wanna believe
When I was three, and free to explore
I saw her face on the back of the door
Be my rest, be my fantasy
Be my rest, be my fantasy
I should have known better
Nothing can be changed
The past is
still the past
The bridge
to nowhere
I should
have wrote a letter
Explaining
what I feel, that empty feeling
Don’t back
down, concentrate on seeing
The
breakers in the bar, the neighbor’s greeting
My brother
had a daughter
The beauty
that she brings, illumination
Don’t back
down, there is nothing left
The
breakers in the bar, no reason to live
I’m a fool
in the fetter (fool in the fetter)
Rose of
Aaron’s beard, where you can reach me
Don’t back
down: nothing can be changed
Cantilever
bridge, the drunken sailor
My brother
had a daughter (brother had a daughter)
The beauty
that she brings, illumination (illumination)
Illumination
J’aurais
dû mieux savoir
Regarder
ce que je peux voir
Mon
linceul noir contient mes sentiments
Un
rempart pour mes ennemis
J’aurais
dû écrire une lettre
Et
m’affliger sur ce qui doit l’être
Mon
linceul noir
Je ne me
fie pas à ce que je ressens
J’attendais
le remède
À l’âge
de trois ans, trois, peut-être quatre
Elle nous
quitta dans ce magasin de vidéo
Sois mon
repos, sois ma rêverie
Sois mon
repos, sois ma rêverie
J’ai la
légèreté d’une plume
Et libre
comme une brise de l’Oregon
Mon
linceul noir
Effrayé
par mes émotions
Je ne
veux plus être qu’un lieu paisible
Non, je
ne suis pas un fonceur
Le diable
m’a jeté un sort
Mon
linceul noir
Maître de
mes pensées
La seule
chose que je veux croire
Quand
j’avais trois ans, et libre de découvrir
J’ai vu
son visage derrière la porte
Sois mon
repos, sois ma rêverie
Sois mon
repos, sois ma rêverie
J’aurais
dû mieux savoir
Que rien
ne peut être changé
Le passé
est toujours le passé
Le pont
ne mène nulle part
J’aurais
dû écrire une lettre
Pour
raconter mon sentiment,
Cette
idée de vide
Ne
retourne pas en arrière,
Regarde
ce que tu vois seulement,
Le tableau
de fusibles dans le bar,
Le
sourire du voisin
Mon frère
a eu une petite fille
C’est la
beauté qu’elle apporte,
Une
illumination
Ne
reviens pas en arrière, il n’y a plus rien
Les
fusibles dans le bar,
pas de
raison particulière pour vivre
Un imbécile
dans ses chaînes
Empêtré
dans la barbe d’Aaron
C’est là
où je suis
Ne
reviens pas en arrière, rien ne peut être changé
Le pont
de Cantilever, le marin saoul,
Mon frère
a eu une petite fille
C’est la
beauté qu’elle apporte,
Une illumination.
Je n'ai pas compris les paroles.
RépondreSupprimerVous savez mon inculture.
Mais j'ai pu méditer sur les mouvements de l'eau, argentée.
Baguenauder dans la campagne, franchir un pont.
Etre les ricochets des galets à la rencontre de l'eau et en devenir ses jaillissements...
Marie
Je vous ai mis les paroles originales, Marie, ainsi que la traduction.
RépondreSupprimerJe sais que vous apprécierez, même ce qui peut paraître un peu ésotérique : c'est parfois le mystère de ce que peut dire un poème.
Merci Céléos, vous êtes très aimable.
RépondreSupprimerVous avez raison, l'ésotérisme ne m'effraie pas ; son mystère poétique m'attire.
De plus,votre colonne de droite m'a apporté un léger sourire de joie...
Marie
Sufjan Stevens chante dans un film dont j'ai oublié ton nom...
RépondreSupprimerRappelez-m'en le titre, s'il vous plaît.
Merci
Je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez, Silvano...
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