Marco Polo, de retour d’Orient, fut emprisonné à la fin du duecento à la prison de Gênes après sa capture lors du conflit entre Venise et Gênes. C’est là qu’il dicte le récit du Livre des merveilles ou le devisement du monde, laissant l’Occident dans une soif inextinguible de curiosité et de découvertes qui bouleversent la vision du monde…
En 1965, Denys de la Patellière et Noël Howard réalisèrent La fabuleuse aventure de Marco Polo, avec Horst Buchholz dans le rôle-titre et Omar Sharif dans celui de l’émir Alaou. Il en reste des images superbes, tournées en décors réels. Je ne suis pas sûr que les mêmes performances cinématographiques pourraient être reproduites aujourd’hui.
On a un peu oublié Horst Buchholz, décédé en 2003. On se le rappelle dans Les Sept Mercenaires, de John Sturges, tourné en 1960. Par la suite, sa carrière fut un peu difficile, tournant principalement pour la télévision. L’un de ses derniers rôles au cinéma fut dans La vita è bella, de Roberto Benigni, en 1997.
On appréciera les deux beaux gosses, Horst et Omar, dans cet extrait tourné sans doute en Afghanistan, dont les paysages sont somptueux. Le film était une production internationale (Afghanistan, Égypte, France, Italie, Yougoslavie). On peut regretter qu’il soit peu rediffusé sur les chaînes publiques.
Horst Buchholz, considéré comme l’Alain Delon allemand, eut de nombreuses conquêtes ; il révéla tardivement sa bisexualité.
En 1965, Denys de la Patellière et Noël Howard réalisèrent La fabuleuse aventure de Marco Polo, avec Horst Buchholz dans le rôle-titre et Omar Sharif dans celui de l’émir Alaou. Il en reste des images superbes, tournées en décors réels. Je ne suis pas sûr que les mêmes performances cinématographiques pourraient être reproduites aujourd’hui.
On a un peu oublié Horst Buchholz, décédé en 2003. On se le rappelle dans Les Sept Mercenaires, de John Sturges, tourné en 1960. Par la suite, sa carrière fut un peu difficile, tournant principalement pour la télévision. L’un de ses derniers rôles au cinéma fut dans La vita è bella, de Roberto Benigni, en 1997.
On appréciera les deux beaux gosses, Horst et Omar, dans cet extrait tourné sans doute en Afghanistan, dont les paysages sont somptueux. Le film était une production internationale (Afghanistan, Égypte, France, Italie, Yougoslavie). On peut regretter qu’il soit peu rediffusé sur les chaînes publiques.
Horst Buchholz, considéré comme l’Alain Delon allemand, eut de nombreuses conquêtes ; il révéla tardivement sa bisexualité.
Le plus ancien souvenir que j'aie de lui est son rôle au côté de Hayley Mills dans "les yeux du témoin" mais il y avait assez bien de ténébreux brun séducteur pendant ces années là , comme Tony Curtis (Tarass Boulba),Georges Chakiris (West side story) ce qui explique pourquoi il connut des succès mais sans plus malgré son aura!
RépondreSupprimerBeaucoup de beaux mecs en effet dans ce cinéma international, dont certains n'ont eu que de très brèves apparitions: André Lawrence, par exemple...
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