Je suis assez d'accord avec ce que raconte Pierre-Emmanuel Barré. Sauf que je ne me les mettrai jamais dans une urne. J'essaierai de publier un texte que je n'ai pas le temps de terminer. L'autre jour estèf m'avait interrogé sur ma détestation de la notion de «collectif». J'en ai déjà parlé dans le blog, mais une piqûre de rappel ne peut pas faire de mal. Je dirai en quoi être libertaire se distingue d'être libertarien et pourquoi il me semble temps de ne plus participer du tout à cette mascarade qu'on appelle des élections politiques.
A te lire donc...
RépondreSupprimerJ'aime bien les élections, moi : on sait qu'on finira par être baisés à la fin.
RépondreSupprimerOui,mais sans vaseline.
RépondreSupprimerBoh, depuis le temps plus besoin, on est largement ouverts et il semble qu'on aime en plus !
RépondreSupprimerAh et que dites vous à qui vous reproche de trahir les anciens qui se sont battus pour le droit de vote? Pour ma part, si je ne peux -risque de sanction , le vote étant obligatoire- m'abstenir de me rendre dans un bureau de votes et de fréquenter l'isoloir un temps raisonnable, je veux rester neutre ou voter blanc, mais il parait que cela profite à la majorité, alors quadrature du cercle en puissance, cette apparente marque de démocratie ou plutôt scorie qu'elle est devenue par l'usage qu'en font les candidats quand ils deviennent des élus , et nos ancêtres se sont ils vraiment battus pour ce nouvel" opium du peuple"?
RépondreSupprimerIl y aurait quelques véritables recherches à mener sur cette lutte pour le droit de vote. Il est bien évident que ce droit devenant un devoir est dès lors dévoyé. La perversion du système est le principe de représentation, véritable escroquerie. Les grands choix de société étant laissés aux représentants corrompus il n'y a donc rien à attendre de bon de quelque élection que ce soit.
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