Ce petit documentaire de Brigitte Rouän m'avait échappé : il fut tourné après son film de fiction Tu honoreras ton père et ta mère, que je n'ai pas vu, mais qui, semble-t-il, ne restera pas comme un film inoubliable.
Ce Stop à la Grèce en slip fait un petit tour rapide de l'équipe technique avec laquelle elle a tourné son film de fiction (avec Gaspard Uliel, dois-je signaler !) sur l'île de Milos. Petits passages à Athènes. C'était il y a quatre ans. La Grèce était au bord du gouffre, et depuis elle a fait un grand pas en avant pour y tomber totalement. La seule chose que j'ai pu vérifier moi-même l'an dernier est qu'il ne reste qu'à faire la fête pour s'y perdre complètement.
L'un des protagonistes le dit : il s'est agi de sauver les banques, les banques et les banques. C'est tout. Dernièrement, le bilan a été fait. Avec l'hyperaustérité, la perte de TVA qu'elle aurait pu collecter est l'équivalent des objectifs d'économie voulue par l'Europe, ce dont déjà le Fonds monétaire international s'était aperçu voici de nombreux mois.
Ainsi, quatre ans après ce documentaire, la situation en Grèce n'a fait qu'empirer, et ce guignol de Tsipras, incapable de s'opposer aux diktats allemands et européens n'a pas été en mesure de donner du sens à l'économie grecque. Qu'on en juge : la crise grecque dure maintenant depuis 2008. Huit longues années, plus longues que la durée de la Seconde Guerre mondiale. Car c'est bien une guerre menée contre le peuple grec, plus dure que celle que subissent les autres pays du Sud. L'objectif étant à terme de brader l'ensemble du pays aux promoteurs financiers.
Dernièrement, c'étaient les retraités qui manifestaient à Athènes. Tsipras n'a su que leur envoyer la police. Quoi d'autre ?
Ce Stop à la Grèce en slip fait un petit tour rapide de l'équipe technique avec laquelle elle a tourné son film de fiction (avec Gaspard Uliel, dois-je signaler !) sur l'île de Milos. Petits passages à Athènes. C'était il y a quatre ans. La Grèce était au bord du gouffre, et depuis elle a fait un grand pas en avant pour y tomber totalement. La seule chose que j'ai pu vérifier moi-même l'an dernier est qu'il ne reste qu'à faire la fête pour s'y perdre complètement.
L'un des protagonistes le dit : il s'est agi de sauver les banques, les banques et les banques. C'est tout. Dernièrement, le bilan a été fait. Avec l'hyperaustérité, la perte de TVA qu'elle aurait pu collecter est l'équivalent des objectifs d'économie voulue par l'Europe, ce dont déjà le Fonds monétaire international s'était aperçu voici de nombreux mois.
Ainsi, quatre ans après ce documentaire, la situation en Grèce n'a fait qu'empirer, et ce guignol de Tsipras, incapable de s'opposer aux diktats allemands et européens n'a pas été en mesure de donner du sens à l'économie grecque. Qu'on en juge : la crise grecque dure maintenant depuis 2008. Huit longues années, plus longues que la durée de la Seconde Guerre mondiale. Car c'est bien une guerre menée contre le peuple grec, plus dure que celle que subissent les autres pays du Sud. L'objectif étant à terme de brader l'ensemble du pays aux promoteurs financiers.
Dernièrement, c'étaient les retraités qui manifestaient à Athènes. Tsipras n'a su que leur envoyer la police. Quoi d'autre ?
mon pauvre Celeos ! il n'y a pas que la Grèce qui est visée. le sort a fait qu'Elle est le 1er pays à se faire flinguer par la multinationale des banques. les autres suivent doucement mais sûrement ! faut pas rêver !
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