Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs… Un blog de Celeos/Κελεός. Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
Je cherche la contrepèterie, mais je suis si mauvais à cet exercice...
RépondreSupprimerLà, ce n'était qu'un élan poétique...
RépondreSupprimerau frêne je préfère le noisetier plus souple et ferme et qui porte des fruits...
RépondreSupprimerLe frêne aussi porte de jolis fruits, qui avec une préparation approprier se déguste à l'apéritif.
SupprimerTrès juste, et sur ce bel oléagineux on peut greffer de l'olivier !
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SupprimerC'est un fort joli titre.
RépondreSupprimerC'est gentil Silvano.
SupprimerC'est gentil Silvano.
SupprimerPauvre garçon : de ce mythique (et souple!) frêne, Wotan arracha un branche (en se crevant un œil) pour en faire sa lance où y graver la loi, et dans lequel Odin planta l'épée qui armera la main de Siegmund. Mais il n'a pas l'air d'en avoir trop souffert, quoique son regard évoque un passé chargé !
RépondreSupprimer(En fait j'adore l'opéra !)
En fait son oeil à repoussé. Quelle joie pour Siegmund! (Wieviel Freude, natürlich!)
SupprimerEn fait son oeil à repoussé. Quelle joie pour Siegmund! (Wieviel Freude, natürlich!)
Supprimerpersonnellement, je fais feu de tout bois !
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