Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
L'auberge des orphelins
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mercredi 27 avril 2016
Théo et Hugo dans le même bateau
Évidemment, je ne l'ai pas vu : le film sort aujourd'hui 27 avril. Mais les critiques semblent plutôt élogieuses. Alors le premier qui le voit fera le commentaire...
en regardant la bande annonce, ça m'a paru au premier abord racoleur...mais quand j'ai vu les réalisateurs... j'ai vu les choses différemment...je tenterais d'aller voir ce film!
le film est courageux à plus d'un titre. placé sous le signe d'Agnès Varda, Jacques Demy et Jean Cocteau, cette rencontre parisienne est de toute beauté. d'abord et avant tout le sexe, un sexe non simulé... les deux garçons sont beaux comme la nuit qui les abrite... n'oublions pas que nous sommes chez Ducastel et Martineau, à savoir des militants et des cinéastes... le message est simple et clair : la maladie est toujours là, même sous ses plus beaux atours... on peut très bien vivre avec le virus mais grâce aux traitements lourds et quelque part humiliants... il faut voir les deux garçons courir le long du canal st martin pour comprendre que Paris demeure une des plus belles villes au monde avec tout son imaginaire populaire... les franc-tireurs du cinéma français en sont la gloire ! ils ne font pas des films mais bien du cinéma... celui qui nous habitera longtemps...
Je n'ai hélas, pas encore vu le film dans cette province toujours attardée, mais je prévois de me rattraper. Je présente demain l'interview de François Nambot et Geoffray Couët par Nicolas Maille.
Ah, c'est drôle : pour une fois, je n'ai pas eu envie d'en causer dans GC. Ces rencontres de sex-clubs ne m'inspirent pas du tout.
RépondreSupprimerD'après ce que j'ai lu sur le film, il ne s'agit pas que de ça. Mais ça existe aussi parfois dans la vie...
RépondreSupprimerOui. D'ailleurs, vous me mites, ce matin, la puce à l'oreille, et j'irai peut-être le voir, finalement, d'autant que j'ai une carte d'abonnement.
RépondreSupprimerMites et puce, je ne vois qu'une chose : c'est Baygon jaune. Ou Baygon vert, je ne sais plus...
RépondreSupprimeren regardant la bande annonce, ça m'a paru au premier abord racoleur...mais quand j'ai vu les réalisateurs... j'ai vu les choses différemment...je tenterais d'aller voir ce film!
RépondreSupprimerTu nous diras ton avis, Guillome.
RépondreSupprimerle film est courageux à plus d'un titre. placé sous le signe d'Agnès Varda, Jacques Demy et Jean Cocteau, cette rencontre parisienne est de toute beauté. d'abord et avant tout le sexe, un sexe non simulé... les deux garçons sont beaux comme la nuit qui les abrite... n'oublions pas que nous sommes chez Ducastel et Martineau, à savoir des militants et des cinéastes... le message est simple et clair : la maladie est toujours là, même sous ses plus beaux atours... on peut très bien vivre avec le virus mais grâce aux traitements lourds et quelque part humiliants... il faut voir les deux garçons courir le long du canal st martin pour comprendre que Paris demeure une des plus belles villes au monde avec tout son imaginaire populaire... les franc-tireurs du cinéma français en sont la gloire ! ils ne font pas des films mais bien du cinéma... celui qui nous habitera longtemps...
RépondreSupprimerMerci, Pepito, de ce beau commentaire !
RépondreSupprimerJe n'ai hélas, pas encore vu le film dans cette province toujours attardée, mais je prévois de me rattraper.
Je présente demain l'interview de François Nambot et Geoffray Couët par Nicolas Maille.