Z, 1969 : la musique de Mikis Theodorakis en écho du film de Kosta Gavras.
Au cas où on aurait besoin de se rappeler que les fascismes n'ont pas disparu et que ce qu'on appelle démocraties sont bien impuissantes à permettre l'expression d'une politique populaire, faite de justice, de lien social, et de la liberté de créer, de dénoncer les archaïsmes...
Au cas où on aurait besoin de se rappeler que les fascismes n'ont pas disparu et que ce qu'on appelle démocraties sont bien impuissantes à permettre l'expression d'une politique populaire, faite de justice, de lien social, et de la liberté de créer, de dénoncer les archaïsmes...
et un procureur qui ose braver les autorités autoproclamées , mais donne t'on à la Justice les moyens suffisants ?
RépondreSupprimerAdmirable film de Costa Gavras, grand cinéaste. Son "Eden à l'Ouest" résonne avec quelle pertinence, dans la triste période que nous vivons !
RépondreSupprimerVous y allez un peu fort sur les démocraties...
RépondreSupprimerJ'ai revu le film récemment -- avec délectation.
Et quelques répliques cultes : "Dreyfus était coupable !", "Nom, prénom, grade !", "Tant que le cœur tient...", "Il a bondi sur le kamikaze" comme un tigre..."
Un des meilleurs films de Costa Gavras et un rôle sur mesure pour Yves Montand, magnifiquement servi par une pléiade d'acteurs de très grand talent. Une mention particulière pour José Artur et Marcel Bozzuffi en pédés inattendus.
Ravi de savoir que les démocraties actuelles vous conviennent, AC.
RépondreSupprimerDans l'ensemble, oui. Il y a of course des améliorations à apporter (impossibilium nulla obligatio est), mais nous y travaillons, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerJe profite de l'espace que vous m'accordez sur votre blog pour saluer la prise de parole à la fois digne et incisive de François Hollande au Parlement européen en réponse aux propos inouïs et inqualifiables de la blondasse d'extrême droite. Une paire de gifles, comme à une sale gamine, aurait peut-être été nécessaire pour conclure en beauté la démonstration présidentielle. Prions pour que cette paire de gifles lui soit assénée par les électeurs lors du prochain scrutin des régionales.
Je suis encore plus ravi que vous vous contentiez des paroles et de l'action de notre bon maître. Pour autant, étant aux prises parfois avec les humeurs de la France la plus profonde, je crains que vous ne deviez vous-même vous charger de la paire de gifles - morales, s'entend - à la blondasse. Je veux bien croire qu'à force de persuasion et de méthode Coué on puisse penser que tout va bien tant qu'on n'a pas atteint ground zero. Le plus vraisemblable est qu'on se dirige de plus en plus vers des triangulaires électorales dans lesquelles personne ne lâchera rien. On sait à qui profite le crime. La SFIO, pardon, le PPS (parti prétendument socialiste) en portera toute la responsabilité. Bises, Franck.
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