Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
L'auberge des orphelins
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jeudi 22 octobre 2015
Ελλάδα πουλάω!
Celeos est vulgaire. La preuve :
Hollande est arrivé en Grèce pour la grande braderie : à vendre, un trou du cul, un pot de vaseline !
Photo Philippe Wojazer. AFP
Dans quelques jours un billet d'humeur, en retour des élections récentes en Grèce.
Non, Silvano, vous ne me mettez pas en colère. Mais l'audace, au nom du peuple grec eût été le grexit. Maintenant, c'est trou du cul et couille molle qui vont en bateau. Devinez qui tombe à l'eau ?
je vous admire sincèrement dans votre obstination de prise de position dans les complications européennes bousillant la Grèce. et mes compatriotes ne se rendent pas compte que le soutien (!!!) de hollande est motivé par un détail : le rejet de la dette grecque vis-à-vis du pays nous ferait franchir la barre au-dessus de 100% du PIB d'un endettement français. dans peu, nous rejoindrons nos "amis"grecs. c'est une évidence ! si le sieur hollande n'a pas combattu la fameuse "finance", c'est qu'il est prisonnier du système. lui ou un autre : même combat. par contre, pour niquer le système financier international, un seul moyen : sortir de l'europe, tous, les uns et les autres. ça annule impitoyablement la ressource qui alimente la "finance". que j'aime le rêve utopique !
"La démocratie, c'est s'adresser à l'intelligence des citoyens plutôt qu'exciter leur peur." — Le président François Hollande devant les députés grecs.
Jolie révérence ; s'il ne faut pas avoir peur, l'intelligence est de reconstruire ce qui ne fonctionne pas, sans jamais rien lâcher aux vendeurs de désolation.
La gauche radicale fait une ovation-debout à Hollande au parlement grec, quand, chez nous, un syndicaliste (adhérent de L.O, il est vrai) refuse de lui serrer la main. J'en perds mon latin (je n'ai pas fait grec).
Nul n'est prophète en son pays, mon cher Silvano. Les Français ont un champ de vision terriblement hexagonal et leur Marianne, à en croire les sondages, est une abjecte blondasse décolorée qui leur fredonne Pétain (et non Gauguin*).
Billet d'humeur ou d'humeurs ?
RépondreSupprimerLes deux, mon général !
RépondreSupprimerJe me disais aussi... :)
RépondreSupprimerJ'avoue, AC, j'ai souvent mes ragnagnas...;)
RépondreSupprimerle problème c'est que le pays bas est resté au grec ancien!
RépondreSupprimerJe vais vous mettre en colère, je le sens : Hollande a, au moins, bougé un (petit, certes)doigt pour la Grèce ; ce fut bien le seul.
RépondreSupprimerNon, Silvano, vous ne me mettez pas en colère. Mais l'audace, au nom du peuple grec eût été le grexit.
RépondreSupprimerMaintenant, c'est trou du cul et couille molle qui vont en bateau. Devinez qui tombe à l'eau ?
je vous admire sincèrement dans votre obstination de prise de position dans les complications européennes bousillant la Grèce. et mes compatriotes ne se rendent pas compte que le soutien (!!!) de hollande est motivé par un détail : le rejet de la dette grecque vis-à-vis du pays nous ferait franchir la barre au-dessus de 100% du PIB d'un endettement français.
RépondreSupprimerdans peu, nous rejoindrons nos "amis"grecs. c'est une évidence ! si le sieur hollande n'a pas combattu la fameuse "finance", c'est qu'il est prisonnier du système. lui ou un autre : même combat. par contre, pour niquer le système financier international, un seul moyen : sortir de l'europe, tous, les uns et les autres. ça annule impitoyablement la ressource qui alimente la "finance".
que j'aime le rêve utopique !
Oui, Yves, bien d'accord pour une autre Europe dont les décisions se prennent au plus près des citoyens.
RépondreSupprimer"La démocratie, c'est s'adresser à l'intelligence des citoyens plutôt qu'exciter leur peur." — Le président François Hollande devant les députés grecs.
RépondreSupprimerJolie révérence ; s'il ne faut pas avoir peur, l'intelligence est de reconstruire ce qui ne fonctionne pas, sans jamais rien lâcher aux vendeurs de désolation.
RépondreSupprimerLa gauche radicale fait une ovation-debout à Hollande au parlement grec, quand, chez nous, un syndicaliste (adhérent de L.O, il est vrai) refuse de lui serrer la main.
RépondreSupprimerJ'en perds mon latin (je n'ai pas fait grec).
Nul n'est prophète en son pays, mon cher Silvano. Les Français ont un champ de vision terriblement hexagonal et leur Marianne, à en croire les sondages, est une abjecte blondasse décolorée qui leur fredonne Pétain (et non Gauguin*).
RépondreSupprimer* Brel, Les Marquises
Je pense que les Grecs ont une grande capacité à l'humour et l'autodérision !
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