Car nous sommes de même nature !
Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs… Un blog de Celeos/Κελεός. Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
un peu de vague à l'âme?
RépondreSupprimerParlons plutôt d'un rouleau d'été !
RépondreSupprimerOu comment se brosser les dents sans brosse à dents ni dentifrice. Il suffit d'ouvrir la bouche et d'attendre... Idéal pour les vacances, si on aime voyager "léger"...
RépondreSupprimerMéthode un peu radicale, non ? Maman, je n'ai plus rien aux dents !
RépondreSupprimerCertes, mais c'est efficace. Dites adieu aux caries !
RépondreSupprimerMais bonjour aux purées-jambon !
RépondreSupprimerA noter (mais est-il nécessaire de le préciser ?) que ce procédé est également valable pour les problèmes hémorroïdaires, les transits difficiles, les traitements purgatifs et les constipations occasionnelles. Il suffit de demander au patient de regarder vers la plage et non plus vers le large.
RépondreSupprimer(La sortie, c'est par où déjà ?)
A ce train-là (si j'ose dire...) on risque de perdre du monde...
RépondreSupprimerLe Darwinisme à l'état pur... Les pinsons n'ont qu'à bien se tenir...
RépondreSupprimerNous aurons donc un choix de plus en plus restreint, à moins que par une poussée créationniste, on voit apparaître des Abel dans leur plus pur appareil (quelques Narcisse également, il en faut pour tous les goûts) !
RépondreSupprimerEn somme, la Nouvelle Vague...
RépondreSupprimerJ'avais failli titrer "En attendant Godard" !
RépondreSupprimerJ'ai une réponse très appropriée à votre dernier com, mais je n'ose pas... (Je sais bien qu'on est sur un blog gay, mais il y a des limites... Vous serez le premier à me dire que la bienséance n'est pas à géométrie variable, et vous n'aurez pas tort.)
RépondreSupprimerJe pressens que vous décomposeriez le nom de notre cher Jean-Luc pour exprimer l'essence de ce qui nous motive, avec une préférence pour le deuxième terme. Vous suis-je bien ?
RépondreSupprimerDifficile à dire, car maintenant j'entrevois deux possibilités.
RépondreSupprimerLà je ne vous suis plus !
RépondreSupprimerJ'éteins en sortant, ne vous inquiétez de rien.
RépondreSupprimerBon, je vous garde un bourbon au tiède pour la prochaine fois.
RépondreSupprimerVous êtes quand même de sacrés coquinous.
RépondreSupprimerEimaste etsi!
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