Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs… Un blog de Celeos/Κελεός. Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
accelerando
RépondreSupprimeraffettuoso
acceso
amoroso
con affetto
ad libitum
Un virtuose de la flûte à bec, pas du violoncelle...
RépondreSupprimer@ AC : précisons : flûte à bec soprano, doigté baroque !
RépondreSupprimer@ Yves : tempestuoso !
@ AC : est-ce lui dont Conan Doyle avait parlé du dernier coup d'archet ?
RépondreSupprimerNon, Holmes préférait les hommes mûrs. Pour preuve, il s'était mis en ménage avec un médecin militaire de retour d'Afghanistan.
RépondreSupprimerEnfin, je n'ai jamais été enthousiasmé par la traduction française du titre de cette nouvelle qui se voulait ultime, His Last Bow.
Autant que je me souvienne, Watson ne devait pas beaucoup avoir dépassé la trentaine à son retour d'Afghanistan, mais c'est vrai que les colonies mûrissent le jeune homme ! Que ne l'a-t-il intitulé His Last Rainbow !
RépondreSupprimerJ'aime me représenter Watson sous les traits de Nigel Bruce.
RépondreSupprimerJe comprends mieux ; Martin Freeman me semblait conserver une belle sève, quoiqu'un peu passée...
RépondreSupprimerJe le trouve très bon dans le rôle, mais le tandem Basil Rathbone/Nigel Bruce a ma préférence.
RépondreSupprimerLe duo idéal est, selon moi, celui imaginé par Sydney Paget pour The Strand Magazine.
Merci de votre indication : les dessins de Sydney Paget m'avaient échappé. Oui, Basil Rathbone était un excellent Sherlock. Depuis, je ne me promène plus le soir dans la lande.
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