Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
L'auberge des orphelins
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mercredi 22 avril 2015
Tu es dans mes cordes
Et, finalement, je me suis beaucoup attaché à toi !
Via Deviantart - Photo Josemanchado - Modèle : Pedro
Et si nous n'attachions aucun être, sous quelque forme que ce soit ; si nous regardions, juste la Beauté de leur liberté, avec une infinie douceur? Marie
Beau programme, Marie. Les Parques jouent pour nous le rôle de tisserandes : ce sont elles qui tissent, trament le fil pour nous lier à ceux qu'on aime ; et avec une dextérité sans appel tranchent les fils sans que nous puissions jamais intervenir. Oui, il nous reste la beauté, passée, beaucoup, un peu celle du présent, et celle de l'avenir qu'on souhaite infinie.
Je ne vous crois pas Marie : il y a en chacun de nous une infinité de choses qu'il suffit de faire surgir et parler. On découvre ainsi l'immensité des savoirs dont on est constitué et qu'on peut alors partager...
Et si nous n'attachions aucun être, sous quelque forme que ce soit ; si nous regardions, juste la Beauté de leur liberté, avec une infinie douceur?
RépondreSupprimerMarie
Beau programme, Marie. Les Parques jouent pour nous le rôle de tisserandes : ce sont elles qui tissent, trament le fil pour nous lier à ceux qu'on aime ; et avec une dextérité sans appel tranchent les fils sans que nous puissions jamais intervenir. Oui, il nous reste la beauté, passée, beaucoup, un peu celle du présent, et celle de l'avenir qu'on souhaite infinie.
RépondreSupprimerà Marie ,être dans les cordes a pourtant des connotations positives! parole de Joseph
RépondreSupprimerCulturellement parlant, je sais si peu de choses, Céléos, j'apprends beaucoup à vous lire.
RépondreSupprimerMerci.
Marie
Je ne vous crois pas Marie : il y a en chacun de nous une infinité de choses qu'il suffit de faire surgir et parler. On découvre ainsi l'immensité des savoirs dont on est constitué et qu'on peut alors partager...
RépondreSupprimerOui, Joseph, certes...mais je ne vois pas ce que vous voulez dire.
RépondreSupprimerCependant, cela vous convient et j'en suis ravie.
Marie