Une chanson mythique : Te recuerdo Amanda, de Victor Jara. L'amour de deux jeunes, ouvrier et ouvrière, de n'importe quelle usine, n'importe quelle ville, n'importe quel continent, dit Victor Jara. Une chanson d'une infinie douceur. Chanter, faire sonner sa guitare, apporter toute la tendresse du monde ne suffisent pas à ébranler les certitudes imbéciles. J'aurais aimé que l'on trouve ainsi une telle romance racontant l'amour de deux garçons travaillant dans la même usine de n'importe quel endroit du monde... Je rêve !
Je ne gâcherai pas ce dimanche, que je vous souhaite beau et tendre, en rappelant le destin de Victor Jara. Que notre amour des belles choses ne nous empêche pas d'avoir en tête que, çà et là, dans le monde, des forces de haine - ceux que j'appelle les thanatophores - sont à l’œuvre qui écrasent la musique, les arts, détruisent des musées et ne trouvent leur propre jouissance que dans la mort des autres. Restons vigilants.
Je ne gâcherai pas ce dimanche, que je vous souhaite beau et tendre, en rappelant le destin de Victor Jara. Que notre amour des belles choses ne nous empêche pas d'avoir en tête que, çà et là, dans le monde, des forces de haine - ceux que j'appelle les thanatophores - sont à l’œuvre qui écrasent la musique, les arts, détruisent des musées et ne trouvent leur propre jouissance que dans la mort des autres. Restons vigilants.
La chanson de vos rêves existe peut-être ; il faudrait chercher du côté de Jean Guidoni.
RépondreSupprimerJe partage vos inquiétudes. Vigilance.
J'irai voir bientôt le côté "noir" de Jean Guidoni.
RépondreSupprimer