Pour accompagner un désir de Rome
Il m'a été rapporté que le syndicat d'initiative romain accueillait avec le plus grand soin les visiteurs, mettant à disposition de jeunes gens spécialisés notamment dans les meilleurs crus du Latium. Je ne peux qu'accorder foi à cette information, preuve à l'appui...
* Senatus Populusque Romanus, mais la version Sono per qui ridere me semble très acceptable...
Il m'a été rapporté que le syndicat d'initiative romain accueillait avec le plus grand soin les visiteurs, mettant à disposition de jeunes gens spécialisés notamment dans les meilleurs crus du Latium. Je ne peux qu'accorder foi à cette information, preuve à l'appui...
Photo Gutyerrez, Baco |
une statistique fait état d'une augmentation générale de la taille humaine ; la preuve ici: dans la période romaine , une feuille de vigne suffisait
RépondreSupprimerL'interprétation la plus fréquente du fameux SPQR dit: Sono pazzi questi Romani! (ce qui fait "ridere" tout le monde, y compris les Romains, et respecte mieux la langue italienne que ce Sono per qui ridere qui me semble être une "forzatura"...
RépondreSupprimer@Joseph : c'est la raison pour laquelle les Grecs avaient carrément abandonné la feuille de vigne, prévoyant l'avenir !
RépondreSupprimer@Palomar : n'est-ce pas le Florentin Savonarole, qui aurait dit en 1494, sous toute réserve, bien évidemment, " non sono qui per ridere ! "? Ce à quoi les Romains auraient répondu, évidemment moqueurs, "sono per, qui, ridere " respectant ainsi l'ordre des initiales du sigle SPQR !
Quant au franchouillard uderzo-goscinnien (" sono pazzi, questi Romani ", s'il fait rire les Romains, c'est qu'il sont encore trop gentils !
oh! là là!...déjà que Silvano avait une désir d'Italie...Voilà ce qui ne va pas arranger les choses.
RépondreSupprimerMarie
Il sera sûr au moins d'être bien attendu !
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