Finalement, cet été je n'ai pas touché la bétonnière, et je n'ai pratiquement pas sorti la moto, tant mon genou était mal en point. J'avais même dit à L. qu'il me semblait être dans la peau de Guillaume Balz, qui finit par perdre sa jambe dans
Les pierres sauvages de Fernand Pouillon.
Par bonheur il y a eu ces quelques jours à Florence qui ont été un enchantement. J'ai pu oublier mes douleurs, sublimées par le plaisir des yeux.
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Veduta di Firenze |
On aurait du mal à jouer sur le piano de l'hôtel la
Serenata medioevale de Giuseppe Silvestri, écrite pour mandoline, violon et accordéon...
Elle est interprétée ici par Tito Schipa, le charme d'un temps passé...
clic
La sérénade est jouable au piano grâce aux harmonies indiquées sur la partition. Je veux bien m'y coller, si vous assurez la partie vocale.
RépondreSupprimerIl faudra attendre que le chat que j'ai dans la gorge veuille bien aller voir ailleurs, Silvano ! J'ai besoin d'un antitussif... Je vais essayer le Chianti !
RépondreSupprimerOui : je prescris un Montepulciano.
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