Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs… Un blog de Celeos/Κελεός. Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
Je n'ai pas compris le titre, mais j'apprécie le modèle, c'est l'essentiel.
RépondreSupprimerIl faut parfois donner un peu de travail aux méninges. L'énigme sera résolue demain. Enfin tout à l'heure puisque c'est déjà demain.
RépondreSupprimerCes zebrures sont les barreaux de sa prison même s'il surveille du haut de sa prison.
RépondreSupprimerIl est condamné a rester dans l'ombre caché derrière ses stores à regardè la vie dehors, mais son cerveau est enfermé dans une cellule de timidité qui l'empêche de vivre....
aurait-il misé sur le mauvais cheval à raies et le laissé piétiner son Jardin ?
RépondreSupprimerIl est possible que le sujet d'Alexandre Jardin ait un sens ici : comment reconquérir l'intérêt de l'être aimé lorsque la routine a érodé les manières d'être à l'autre ?
RépondreSupprimerY a-t-il une prison dont nous ne soyons pas conscients, et à partir de laquelle il faut surveiller tout geste extérieur qui pourrait être une menace ? Menace de soi pour soi-même ? Peut-être que l'autre, qui arrive après avoir garé sa voiture sera alors celui qui ouvrira cette cellule, chassant la peur et permettant de vivre ?
La vie est faite de tant de choses...